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Leaticia Salon
Agent de Carrière Tech 🌍 | Recrutement multi-zones Europe • Afrique • Océan Indien | Recruter plus vite, avec plus de choix | Talents sans frontières
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May 2, 2025
Le cloud en Afrique croît à deux chiffres. Et pourtant… certaines applis plantent encore pour 2 secondes de latence. Y a pas un problème ? 👉 45 milliards $ d’ici 2031   👉 12,5 milliards $ de revenus attendus dès 2025 👉 +19 % par an Les courbes sont sexy. Les chiffres font tourner la tête. Mais sur le terrain, c’est une autre histoire… - Une appli de télémédecine peut planter à cause d’une simple coupure réseau - Une plateforme de streaming inutilisable avec une latence mal gérée - Et la “transfo numérique” s’écroule dès que la bande passante sature Le problème, ce n’est pas l’ambition. C’est le modèle. Un cloud trop centralisé pour un continent trop fragmenté. Et si la vraie solution…ce n’était pas “plus de cloud” mais un cloud autrement ? 👉 Le edge cloud frugal. Léger. Local. Conçu pour fonctionner même quand la fibre saute. Ce que ça change, concrètement : - Une clinique rurale traite ses données sur place - Une startup agritech analyse ses capteurs en local - Une appli fintech tourne, même avec une connexion instable Côté tech, ça donne : 📍 Traitement au plus près de l’utilisateur 📉 –60 % de bande passante consommée ⚡ Latence divisée par 5 🔌 Fonctionnement possible offline 🔐 Données sensibles hébergées localement Et ce modèle commence à s’installer. Afrique / Moyen-Orient : → 1,29 Md $ d’ici 2031 +18,2 % de croissance AWS : 1,6 Md $ investis en Afrique du Sud Huawei : 200 M $ pour son 1er cloud public africain Africa Data Centres : 109,6 M $ pour booster l’Edge Des hubs émergent et des solutions locales montrent déjà la voie. Ex : ARED GROUP LTD, fondé par Henri Nyakarundi – qui déploie des bornes solaires connectées avec serveurs edge intégrés. 🎯 Des services et contenus accessibles localement, sans dépendre d’un cloud central. Ce n’est pas une version “low cost”. C’est une réponse stratégique aux contraintes locales. Pour moi, le futur du cloud en Afrique ne sera pas qu’un empire de data centers. Il sera hybride, frugal et pensé pour les réalités locales. Parce que chaque kilo-octet compte. Et parce qu’une solution bien pensée, localement, peut tout changer. 👉 Votre cloud… il est vraiment pensé pour l’Afrique réelle ? 👉 Et si le Edge-Computing est la solution idéale pour nos réalités locales ?
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May 2, 2025
Discussion about this post
Dominique Blas
Manager Cyber-risques / CISO Full-stack IT/indus/IoT & DPO Groupe chez Groupe Dehon
5 months ago
Cela fait au moins 40 ans qu'on en parle et ... qu'on le fait. Dénommé désormais hybride (pour ne pas énerver les afficionados du centralisé et ne pas trop faire 'has been') ou edge (pour faire moderne sur les salons) cela correspond à un modèle réparti : ce qui est essentiel est privé (confidentialité) et proche (réduction de la latence voire débits plus importants), ce qui est moins essentiel est mutualisé (moins confidentiel, bénéficie à davantage de monde et revient moins cher à héberger) et localisé un peu plus loin (latence non critique). J'ai bien connu les infras à 64 kbps et les i386 ainsi que l'embarqué et, dans ces cas-là, on optimise tout ce qu'on peut optimiser y compris, et surtout, le code. En résumé, bien peu de choses ont été inventées en IT ces dernières décennies, je vous prie de croire. db
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Lionel SAKITI
Polyexpert IT | Chief IT Expert Officer (CITEO) | Program Manager Data/Cloud/IA souverains chez GIM-UEMOA
5 months ago
Pertinente analyse. L'Afrique doit repenser et se reapproprier son modèle. Cependant, l'Edge computing sera obligatoire mais ne remplacera pas le besoin en dataCenters(cloud souverain)
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verlaine j muhungu
Simplifying Networking, Automation & AI | Technical Writer & Content Creator | Creator of #100DaysOfCiscoPyATS
5 months ago
C'est la voie a suivre,l'afrique doit innover ses challenges pas les tendances globales. Il y aura des challenges et opportunites a exploiter.
Après 15 ans de salariat, je me lance à mon compte 🥳. Une première pour moi, avec beaucoup d'excitation (et un peu de stress 😅), mais surtout une énorme envie de relever un défi : le recrutement en Afrique. Et de revenir à mes sources: Je suis née et j'ai grandi à l'île Maurice 🇲🇺, un endroit où l'humain compte autant que le paysage. Cette vision, je l'ai apportée avec moi en Europe 🇪🇺, où j'ai trouvé ma voie dans le monde du recrutement tech. Pendant plus d'une décennie, j'ai eu la chance de collaborer avec des startups, des scaleups et même des licornes parmi les plus innovantes d'Europe. Mais aujourd'hui, je sens ce besoin de me reconnecter à mes racines et de contribuer à une dynamique qui me passionne : la tech africaine. 🎉 C'est pourquoi je suis fière de vous annoncer la création de NexLink Africa! Avec un écosystème tech en plein boom, 6 fois plus rapide que le reste du monde et une population de plus de 60% de jeunes, je suis convaincue que l'Afrique est le continent de demain. Et, pour que cet écosystème atteigne son plein potentiel, il faut lever des freins majeurs : des formations mal adaptées, un manque de coaching, des recrutements difficiles et un manque de visibilité sur la scène mondiale ✨ Et c'est la qu'intervient NexLink 🌍 Propulser les startups africaines, soutenir les VCs et Incubateurs, et révéler les talents locaux pour transformer durablement le paysage socio-économique du continent. Concrètement, ce qu'on fait : ✅ Former et révéler les talents : Bootcamps, coaching, et partenariats avec des écoles pour préparer les talents africains aux besoins concrets des startups tech. ✅ Soutenir les startups : Structurer, recruter localement et à l'international, et accompagnement pour lever des fonds. ✅ Soutenir les VCs et Incubateurs : Structurer, accompagner et maximiser la croissance et la valeur des startups en portefeuille. ✅ Créer des connexions : Relier talents, startups, mentors et investisseurs pour maximiser l'impact à chaque étape. Mon double ancrage – mauricien par mes racines 🇲🇺 et européen par mes expériences 🇪🇺 – me permet de jouer le rôle de Nexus, connectant efficacement le local et le global pour générer un impact durable. Ces derniers mois ont été une véritable formation accélérée ! Merci pour l'énergie et l'inspiration que vous m'avez apportée : Ibrahima Sylla 🇨🇮🇲🇱, JEBBAR Marouane, O'Maxwell Gad et tous ceux et celles que j'ai croisés de #Nigeria, #Madagascar #UK #Singapore #CoteIvoire #US #Kenya #Rwanda et #Mauritius. Tellement hâte ! Abonnez-vous à la page pour découvrir comment NexLink contribue à transformer le paysage Tech africain. PS : Un grand merci à Maud Grenier et Thomas Rodrigues pour leur soutien précieux dans cette transition. Votre aide a été essentielle 🧡
85 comments
December 6, 2024
Mauricienne par le sang, française par le vécu, recruteuse tech par passion, je ne rentre dans aucune case et c’est devenu ma plus grande force. Depuis 3 mois, j’ai décidé de prendre la parole à ma manière et sans filtre 🎙️ Et tu sais quoi ? En 3 mois, j’ai vécu plus d’opportunités, plus de connexions, plus de sens que jamais. Pendant longtemps, j’ai cru qu’il fallait me faire petite pour être crédible. Adopter les bons codes. Lisser mes mots. Rentrer dans le moule. Mais ce moule, il n’a jamais été pensé pour moi. Ni pour ma voix.  Ni pour mes racines. Ni pour ce que j’ai à dire. Alors j’ai choisi de faire l’inverse. De m’assumer pleinement. De parler de ce qui m’anime profondément. D’oser mon ton. Mes convictions. Mon énergie. Et surtout, d’honorer ce que je suis : Un pont entre deux mondes. Deux cultures. Deux continents. En 3 mois, j’ai… - 🌍 exploré le marché tech africain, de la région Australe à l’Ouest, en passant par l’Est, le Centre… et jusqu’à la 6e région : la Diaspora - 🤝 généré +40 RDV avec des entreprises tech entre la France et Maurice - 🎙️ été interviewée sur Voxafrica TV, au JNDA - BRIDGE AFRICA (Journées Nationales des Diasporas et de l'Afrique), et dans le magazine Étoile Africaine (une première pour une Mauricienne) - 🤖 cofondé DoDoBotics avec ma petite sœur Anne Sophie SALON & verlaine j muhungu - 🚀 démarré une mission chez Potentiel-IT comme agent de carrière - 🧑🏽‍💻 rejoint 10000 CODEURS en tant que  Responsable Accompagnement des Professionnels - 🧠 intégré le groupe de travail Telecom Paris Africa pour développer des synergies entre territoires Et surtout… j’ai rencontré des âmes incroyables ✨ Des personnes engagées. Inspirantes. Avec qui j’ai vibré, ri, appris. Et qui m’ont rappelé pourquoi je fais tout ça. Aujourd’hui, je sais que je suis sur la bonne voie. Celle qui m’aligne. Celle qui relie et qui inspire. Mon objectif reste simple : -Faire le pont entre deux continents. -Faire grandir les écosystèmes. -Incarner, à ma façon, une des voix de l’Afrique dans le recrutement tech. Et le plus beau, c’est que ce n’est que le début 🚀 ❤️ Merci à celles et ceux qui m’accompagnent sur ce chemin. À toi qui me lis : quelle est ta voix à toi ? Et quand est-ce que tu comptes la libérer ? 🔥 🛤️  Le chemin commence par un mot. Ose. 𝗣𝗦 : Moi c’est Leaticia Salon - Mauricienne par mes racines, Européenne par mes expériences, et engagée pour le développement de l'Afrique. Je partage ici mes actions entre l’Europe, l’île Maurice et le continent africain, avec un regard différent sur les écosystèmes tech et les RH. 🌍✈️ Two continents. Triple vision. One mission.
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April 11, 2025
Oui, l’Afrique tech avance - 13 pays africains entrent simultanément dans le Top 100 mondial des écosystèmes tech du classement StartupBlink 2025. Et c’est une première historique 🥳 Jusqu’ici, le continent n’avait jamais été aussi bien représenté dans ce classement. Le rapport évalue les écosystèmes tech selon 3 leviers clés : - Volume – start-up, incubateurs, événements - Qualité – investissements, R&D, licornes - Environnement – connectivité, fiscalité, stabilité Parmi les classés : Afrique du Sud, Nigeria, Égypte, Kenya… Mais aussi des écosystèmes qu’on attendait moins comme le Cap-Vert, la Namibie ou la Somalie. Ce n’est pas seulement un bon score. C’est un signal fort. Une dynamique continentale qui se structure. Oui, l’Afrique tech avance. Elle devient plus visible, plus solide, plus connectée. Reste à transformer cette reconnaissance… en réseaux puissants, en ressources concrètes, en résultats visibles. Une place dans un classement, c’est un bon signal. Mais est-ce que vous le voyez, cet élan, autour de vous ? Dans les incubateurs, les startups, la tech locale ? Qu’est-ce qui pousse ? Qu’est-ce qui freine ? Je suis curieuse de vos retours terrain 👇 𝗣𝗦 : Si vous me découvrez via ce post, moi c’est Leaticia Salon - Mauricienne par mes racines, Européenne par mes expériences, et engagée pour le développement de l'Afrique. Je partage ici mes actions entre l’Europe, l’Île Maurice et le continent Africain, avec un regard terrain sur les écosystèmes Tech et les RH. 🌍✈️ Two continents. Triple vision. One mission.
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May 30, 2025
Au Cameroun, plus on est diplômé, plus on a de chances d’être au chômage😱 Oui, vous avez bien lu... La claque des statistiques 👇 Les chiffres de l’Institut National de la Statistique (INS) sont clairs : - Non scolarisés (25-35 ans) : 3,0 % de chômage - Diplômés du secondaire : 10,2 % de chômage - Diplômés de l’enseignement supérieur : 14,8 % de chômage 👉 Plus de diplômes, moins de chances d’avoir un emploi. Un paradoxe brutal que connaissent plusieurs pays africains. Et derrière ces statistiques, des milliers de rêves brisés. Pourquoi ? Parce que le système éducatif est déconnecté des réalités du marché. On forme pour des métiers… qui n’existent pas ou qui n’embauchent pas. Le résultat ? - Des jeunes surdiplômés mais sous-employés. - Une course aux diplômes qui mène souvent à une impasse. - Un gâchis monumental de potentiel pour une génération prête à transformer le continent. Et si on arrêtait de former des chômeurs ? On peut faire autrement. D’autres l’ont déjà fait. 👉 Regardez l’Île Maurice. L’île est passée d’une économie agricole centrée sur la canne à sucre à un hub financier et technologique. ✔️ Formations alignées sur les besoins réels du marché. ✔️ Partenariats entre universités, centres de formation et entreprises. ✔️ Valorisation des filières techniques et manuelles. ✔️ Anticipation des compétences de demain. Résultats ? - Moins de chômage. - Plus de diversification économique. - Meilleur niveau de vie. 👉 Et regardez aussi le Botswana. Un des rares pays africains à avoir diversifié son économie au-delà des ressources naturelles. ✔️ Formations techniques connectées au marché. ✔️ Programmes comme le Learning Passport pour combler le fossé numérique. ✔️ Programmes de soutien à l’entrepreneuriat. ✔️ Vision à long terme avec des plans comme le Reset Agenda et l’Economic Recovery Transformation Plan (ERTR). Résultats ? - Taux d’alphabétisation parmi les plus élevés d’Afrique. - Chômage en baisse. - Une économie plus diversifiée et moderne. Ce que ces exemples nous montrent : ➖ Former pour des diplômes sans emploi, c’est former pour l’échec. ➖ L’éducation doit être un tremplin, pas une impasse. ➖ Arrêtons de préparer nos jeunes à être déçus. 👊 Et si on cassait ce cercle vicieux ? 👉 Moins de théories, plus de pratiques. 👉 Des compétences, pas juste des diplômes. 👉 Préparons nos jeunes à créer, pas juste à chercher. Qu’en pensez-vous ? 𝗣𝗦 : Moi c’est Leaticia Salon - Mauricienne par mes racines, Européenne par mes expériences, et engagée pour le développement de l'Afrique. Je partage ici mes actions entre l’Europe, l’Île Maurice et le continent Africain, avec un regard différent sur les écosystèmes Tech et les RH. 🌍✈️ Two continents. Triple vision. One mission.
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May 9, 2025
👉 1 mois de silence ici. Aujourd’hui, je reviens avec une histoire qui valait l’attente 😊.  À 16 ans, il a déjà formé +700 jeunes en Éthiopie. Meet Sanyi Diriba. Autodidacte. CEO & cofondateur de Go2Cod. En seulement 1 an, il a : ⚡ Formé des centaines de jeunes via des stages pratiques, ⚡ Lancé PinShot (900 utilisateurs en 2 semaines), ⚡ Créé Beeka AI, un assistant intelligent pour étudiants. 👉 Sa première donation ? Pas d’un business angel. Pas d’un fonds d’investissement. Mais d’un pair. Un symbole immense → une jeunesse qui s’entraide et s’élève ensemble. Mais l’histoire de Sanyi va plus loin. Avec Go2Cod, il ouvre l’accès au dev en Éthiopie : ✅ Compétences employables (Python, IA, Web) ✅ Moins de fuite des cerveaux ✅ Plus d’opportunités locales 🇪🇹 L’Abyssinie a toujours eu un écho particulier pour moi. Aujourd’hui, elle prend encore plus de sens, en voyant cette jeunesse. Et Sanyi n’est pas seul. Partout en Afrique, la même énergie : - À l'Île Maurice, des jeunes qui secouent la cybersécurité mondiale 👋 cyberstorm.mu community - Au Mali, une IA née d’un rêve trop grand pour rester silencieux 😉 Ousmane Dicko - Au Burkina, des voix qui codent en langues locales 👋 Zié Aboubacar O. 👏 Bravo Sanyi. 👏 Bravo à tous ces jeunes. Vous incarnez ce que l’Afrique a de plus fort : sa jeunesse et son audace. Vous pouvez soutenir son projet ici 👇 (lien en commentaire)
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September 3, 2025